chroniques du temps perdu

Nicole Dupuis l’autrice de ces Chroniques
a également publié Quelques touches de mes saisons
Au Secours ! Ou sont les êtres humains ?
Une simple fenêtre pour les yeux des
enfants....
Un caillou lumineux sur le chemin
Mots du cœur, mots de l’exil, mots oubliés…
Des mots tout noués de chair vive et de vent
il est revenu le jolie temps du muguet
Dans la complicité de nos nuits
Articles publiés dans cette rubrique
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Voyage de toutes les saisons
Aujourd’hui, 3 Août, je pense en regardant par la fenêtre les feuilles d’un bouleau miroiter dans la clarté du matin … que j’ai 63 ans.
J’aime encore plus que d’habitude sentir la profondeur du silence s’étirer infiniment sur les heures immobiles... Peut-être pour me donner l’illusion que cette fois-ci, (...)
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Mots du cÅ“ur, mots de l’exil, mots oubliés….
J’éclaire en ce moment mon cher temps perdu de « mots qui nourrissent et qui apaisent, » glanés par l’écrivain Charles Juliet dans ses lectures et rassemblés dans un de ses derniers livres. Je savoure ces bouts de pensée, de respiration des autres, ces joyaux d’existence et d’éternelle poésie qui l’ont (...)
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La marée des années
Le 3 Février, Sébastien, mon premier enfant, a pris le large vers sa quarantième année. Est-ce possible ? Il y a tout juste quelques vagues de jours, quelques envolées de saisons, que nous avons embarqué, son père et moi, ivres de surprise et d’extase, dans le mystère de ses premiers vagissements, ses (...)
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Deux de tension
Il y a quelques années, à la fin d’un contrat de travail dans un centre de formation, j’ai su, en m’en allant, que certains collègues m’appellaient « 2 de tension ». J’y pense encore, parfois avec humour, en en plaisantant avec mes enfants, parfois avec un mélange de honte et de colère. Colère, (...)
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Amours et désamours
Petit bout de conversation avec Baptiste 8 ans et Mathilde 5 ans, sur la route des jeux du moulin d’Achicourt : Moi : « Vous en faites de grands signes « au-revoir » à votre mère ! On dirait que vous la quittez pour 8 jours .Vous l’aimez vraiment beaucoup ! » Baptiste : « Oh oui ! jamais de la vie je n’aur