Pour celles et ceux qui préfèrent lire plutôt qu’écouter le contenu

ou
qui souhaitent approfondir ce qu’ils ont entendu par une lecture,

Voici les textes de mes interventions :
Séquence 1
 Présentation succincte
Nous vivons une période de changement important tant en France que dans le monde. Le modèle républicain dont nous avons hérité à la Révolution française est de nouveau menacé. Nous sommes désorientés et avons des difficultés à comprendre ce qui se joue.
Cette situation favorise les peurs irrationnelles, mauvaises conseillères
Elle ouvre aussi des opportunités, opportunités dont se saisissent ceux que la démocratie dérange.

Militant d’éducation populaire, je n’ai pas de réponses clé-en main pour comprendre, mais j’ai acquis quelques clés de lecture du monde qui peuvent aider à comprendre ce qui se passe, à ouvrir le champ de réflexions collectives, et à ne pas subir.
Pour écouter : Pourquoi une nouvelle série d’émission maintenant ou

Texte de la séquence 2
 En France est-on en démocratie ? Pour écouter

Texte de la séquence 3
 Démocratie représentative ou aristocratie élective Pour écouter

Texte de la séquence 4
 Démocratie élective et intérêts de classe Pour écouter

Texte de la séquence 5
 La République, un acquis aujourd’hui menacé
Pour écouter

Texte de la séquence 6
 La situation actuelle au regard de la démocratie
Pour écouter

Texte de la séquence 7
 La Révolution avait fait naître la République, il restait à conquérir la Démocratie
Pour écouter
« Celui qui combat peut perdre,
Celui qui ne combat pas a déjà perdu » Bertolt BRECHT [1]

Texte des séquences sur le capitalisme et la démocratie A venir

1 - la séquence 8 le capitalisme adopte la démocratie Bientôt en ligne
2 - la séquence 9 Le virage néo-libéral
« Il y a une lutte des classes, bien sûr, mais c’est ma classe, celle des riches, qui fait la guerre. Et nous sommes en train de gagner. » Warren Buffett milliardaire américain parmi les plus riches du monde en 2005.
3 - la séquence 9

« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’Hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie que de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. » [2].